Quelques rappels

Comment faire quand il n’y a pas de tampon ?

Depuis l’origine du BPF, la validation d’un site se faisait essentiellement par l’apposition « d’un timbre humide » dans la case adéquate.

Au fil des ans, en raison de la désertification du monde rural, force est de constater qu’il devient de plus en plus difficile de faire tamponner sa carte.

D’autres solutions peuvent alors être envisagées :

  • Coller sur la carte BPF la carte de visite d’un commerce ou d’une entreprise de la localité.
  • Coller sur la carte l’étiquette autocollante d’une boulangerie ou d’une pâtisserie.
  • Coller sur la carte un ticket de caisse d’un commerce, ou d’un distributeur de billets, mentionnant la localité.

En l’absence de commerces ouverts, les photos constituent la seule solution.

Le Comité Directeur Fédéral, dans sa réunion des 27 et 28 janvier 2012, a réaffirmé la possibilité d’effectuer la validation des contrôles des Brevets touristiques au moyen de photographies, au choix du participant.

Ces photos doivent montrer clairement le vélo du participant (un vélo par participant !) et permettre de reconnaitre « sans équivoque » le lieu de pointage. La pancarte de l’agglomération est la plus pratique, mais un monument typique peut aussi faire l’affaire.

Si le participant est présent sur la photo, c’est encore mieux !

Ce qui ne sera pas recevable :

  • Un tampon ne mentionnant pas la localité (vérifier avant de quitter le site !)
  • Une écriture manuscrite au lieu d’un tampon sur la carte.
  • Une photo sans vélo.
  • Une photo qui ne permet pas de reconnaître la localité.

Challenge de France

Pour que vos homologations soient prises en compte pour le challenge de France de l’année en cours, elles doivent être effectuées avant le 1er octobre. Passé cette date, nous changeons de millésime,  ceci afin de permettre au délégué fédéral s’occupant de ce challenge, de faire ses décomptes de points et de publier les classements avant l’assemblée générale de la fédération.

Les cartes BPF sont homologuées suivant leur ordre d’arrivée. Comme près de 2 000 cartes me parviennent entre le 20 août et le 10 octobre, ça s’accumule, et le délai d’homologation peut atteindre plus d’un mois.

Donc, si vous voulez être sûrs que vos cartes soient prises en compte au titre de l’année en cours, il est recommandé d’envoyer vos cartes au plus tard début septembre, ou d’éviter cette période particulièrement surchargée. Les cartes homologuées après le « décompte challenge » sont comptabilisées pour l’année suivante, donc les points acquis ne sont pas perdus.

Envoi régulier des cartes  

Pour différentes raisons, il est recommandé d’envoyer ses cartes à l’homologation au fur et à mesure de leur remplissage. Par exemple, faites un envoi par an, ou un tous les deux ans.

  • Dans la mesure du possible, n’attendez pas d’avoir tout fini pour me les faire parvenir.
  • Une fois vos cartes homologuées, vous ne risquerez plus de les perdre ou de les voir détruites. Elles sont enregistrées une fois pour toutes dans l’ordinateur.
  • Si un envoi postal s’égare (ce qui arrive de temps en temps) mieux vaut perdre quelques cartes que la totalité.
  • Enfin, il faut plus de trois heures de travail pour valider les 89 cartes d’un BPF entier, ce qui contribue à bloquer un peu plus les homologations durant la période intense de septembre-octobre, et ce qui n’est guère compatible avec la notion de bénévolat. Désormais, les envois massifs seront traités au calme, pendant la période hivernale.
  • Par précaution, vous pouvez en faire une photocopie, une photo ou un scan avant envoi.

Départements en double

Rappel : il faut avoir fini entièrement son BPF, avant de pouvoir faire homologuer à nouveau le même département, ou la même province.

Sites d’altitude

Certains sites ne sont accessibles qu’en été (grands cols, sites d’altitude isolés, etc.). Il faut donc attendre cette période pour y accéder. Par exemple, le col du Tourmalet ne peut pas être remplacé par La Mongie en automne, ou Ste-Marie-de-Campan en hiver ! Il faudra attendre la réouverture de la route pour s’y rendre.

Saint-Martin-du-Canigou

Rappel, c’est bien en haut, à l’abbaye qu’il faut faire tamponner, et pas en bas, au village de Casteil. Problème, lorsque vous passez devant le « Relais St-Martin », la gérante de l’établissement  apostrophe volontiers les cyclos en leur disant qu’elle est « habilitée » (c’est son expression) à tamponner les cartes BPF. Il n’en est rien, et ceux qui lui feraient confiance se verraient refuser leur validation.

Fouras

Sur le tampon de l’Office de Tourisme de Fouras figure la mention « Rochefort ». Pour éviter toute confusion, mieux vaut aller tamponner ailleurs ou prendre le vélo en photo devant la pancarte de la localité.

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